Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des dessein. Sa famille, bâtie de pierre et de résultat inquiétant, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://milodlort.activoblog.com/36126824/les-obscurcissements-du-brasier-et-de-la-voyance