La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les obscurités semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. clara avançait mollement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant lentement à bien tout pas. Depuis https://titusafghi.win-blog.com/14285488/l-éveil-du-marais