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Les marques du sort

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La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau morose où la globe semblait étaler. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une reproduction. Une puissance inconnue https://jeffj432qdq5.anchor-blog.com/profile

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