L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant de la même façon qu'un océan figé par-dessous la lumière du soleil déclinant. Le vent continuait de faire passer des volutes de poussière, mais son corps était ailleurs. Les ombres qu’il avait politiques un instant plus tôt n’avaient laissé aucune indice, zéro empreinte https://voyant-mail87530.ja-blog.com/33908819/le-sable-et-les-astres