Le soleil s’écrasait sur les pierres brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient mitoyen de la carcasse rouillée d’une ancienne cabine téléphonique. Posée seule au démarcation d’une promenade oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, chaque dimanche à midi, une sonnerie brisait https://augustkxjjx.blogsumer.com/33125346/la-rappel-effacée