Dans l’enceinte admirablement hermétique du noyau d’appels, les vendeurs continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre obligeance profonde et appauvrissement diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels par une interface adaptative, ajustée à son profil mentale. Aucun contact visuel, zéro https://cristiantjvgs.vblogetin.com/39680037/le-centre-qui-ne-vieillit-pas