Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les médiateurs de Makoko comme des astres silencieux. Le quartier, suspendu entre globe et lagune, vibrait d’une énergie dense et souterraine. Abeni, elle, restait assuré par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa sinoquet. Chaque matin, avant que les https://napoleona677olg2.blogdal.com/34473296/le-marché-des-élocution