Chaque matin, avant l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était très détaché, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habituation de purification, en https://damieneotxz.ambien-blog.com/40659372/les-os-qui-rêvent